La respiration physiologique s’effectuant uniquement par le nez, la respiration par la bouche, réservée à l’effort, peut avoir de multiples conséquences :
Bouche ouverte, cernes, sommeil agité, ronflement, soif nocturne, fatigue, troubles de la concentration…
En effet, la respiration buccale peut s’installer, à cause d’un nez bouché chronique voire de végétation ou amygdales proéminentes, le corps cherche alors à recueillir l’oxygène avec un minimum d’efforts.
Les conséquences de la respiration buccale sont :
-Sommeil difficile :
Habitude prise tôt dans l’enfance, respirer par la bouche empêche d’entrer en phase de sommeil profond et donc de bénéficier d’une nuit réparatrice. Avec la fatigue, des troubles du comportement peuvent apparaître comme l’irritabilité, l’hyperactivité ou encore des difficultés de concentration.
-Cernes :
Paradoxalement, ceux-ci ne sont pas dûes au manque de sommeil justement mais à une oxygénation inexistante des capillaires sanguins du nez lors de la respiration buccale .
-Des infections plus nombreuses :
Des rhumes, otites et angines à répétition peuvent également être les conséquences d’une respiration buccale car l’air entrant est froid, non filtré comme lorsqu’il passe par le nez et encore chargé en bactéries.
-Une croissance ralentie de la face :
Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage. Quand un enfant respire par la bouche, sa langue, au lieu d’être collée au palais est en position basse au niveau de la mâchoire inférieure. À cause de cela, elle ne peut pas stimuler la croissance en largeur de la mâchoire supérieure (le maxillaire). Le palais devient creux et le maxillaire trop étroit. Un cercle vicieux s’installe, la mâchoire du haut, pas assez large, ne pourra plus accueillir le volume de la langue qui aura encore plus tendance à rester en bas. Le maxillaire étant trop petit, les dents ne trouvent pas assez de place pour se positionner correctement et vont ainsi se chevaucher. La partie inférieure du visage a tendance à plus se développer que le reste du visage ce qui peut en rompre l’harmonie. Un traitement orthodontique et ostéopathique s’impose alors.
La réeducation chez l’adulte reste très difficile.
D’autres appareils, souvent sous forme de gouttières, permettent d’aider la rééducation de la position de la langue pour encourager la respiration nasale et au contraire décourager les succions de pouce ou de tétine qui entretiennent la respiration buccale.
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Les critères vont dépendre :
-de son âge,
-de la façon dont vous le nourrissez : au sein ou au biberon,
-de la présence ou non d'aliments solides
Concernant la fréquences des selles, il n’y a pas de règles :
Les bébés, nourris au sein, et qui ne consomment pas d'aliments solides peuvent salir leur couche aussi bien quatre fois par jour, qu’une
seule fois dans la semaine!
Souvent, les bébés nourris au biberon peuvent faire une selle tous les jours pour être à l’aise et ne pas être constipés.
Tant que les selles de votre bébé sont molles et s'évacuent facilement, même si votre bébé a l’air de souffrir ou est crispé, il n’y a pas d’inquiétude à avoir.
À quoi doivent ressembler les selles de mon bébé ?
Les premières selles produites par votre bébé quelques jours après sa naissance sont du méconium. Elles sont constituées de mucus, de liquide amniotique et de tout ce que votre enfant a ingéré
quand il était dans votre ventre.
Le méconium est une matière vert noir collante qui ressemble un peu à du goudron. Son aspect n’est pas des plus agréables, mais sa
présence est le signe que les intestins de votre enfant fonctionnent correctement.
À quoi ressemblent les selles de mon bébé ?
Les toutes premières selles sont un mélange de mucus, de liquide amniotique et de ce que votre bébé avait dans son ventre quand il était dans le vôtre, cela s’appelle du méconium. C’est une matière noir et collante.
Le colostrum, premier lait que vous produisez, agit comme un laxatif pour aider votre bébé à évacuer le méconium de ses intestins. Après, les selles deviennent plus claires et passent de la couleur marron verte à une sorte de jaune moutarde.
La fréquence et la texture des selles de votre bébé peuvent changer si :
-vous introduisez des aliments solides dans son régime alimentaire,
-votre enfant est malade,
-les tétées diminuent.
Les bébés nourris au biberon ont souvent des selles plus épaisses et sont plus susceptibles d’être constipés que les bébés nourris au lait maternel.
Si vous passez du lait maternel au lait en poudre, essayez de le faire progressivement et dans l’idéal par étapes progressives.
À mesure que l’alimentation de votre bébé se diversifie, ses selles deviennent plus épaisses, plus foncées et beaucoup plus odorantes.
Diarrhée ?
Votre bébé a peut-être la diarrhée si :
-ses selles sont très liquides sans grain,
-ses selles sont plus fréquentes ou plus abondantes que d’habitude,
-ses selles sont expulsées ou jaillissent de façon incontrôlée.
Si vous allaitez votre bébé, celui-ci a moins de risque de souffrir de diarrhée mais aussi de constipation d’ailleurs. En effet, le lait maternel protège le système digestif.
Si votre bébé a une diarrhée, cela peut être dû à :
-une infection telle que la gastroenterite,
-une consommation excessive de fruits ou de jus de fruits,
-une réaction à un médicament,
-une intolérance ou une allergie à un aliment.
Si votre bébé fait ses dents, ses selles peuvent être plus molles que d’habitude, mais
cela ne devrait pas provoquer de diarrhée. Cette phase ne dure pas longtemps mais peut entraîner un érythème du fessier.
À noter que chez les bébés plus âgés, la diarrhée peut aussi être le signe d’une constipation sévère. Il arrive alors que des selles liquides s’écoulent alors que des selles dures restent
bloquées.
La diarrhée doit disparaître sans traitement au bout de 24h. Si ce n’est pas le cas, consultez votre médecin ou pédiatre car votre enfant risque de se déshydrater.
Constipation ?
Votre bébé est peut-être constipé si :
-il semble vraiment avoir du mal à évacuer ses selles,
-les selles de votre enfant sont petites et sèches et ressemblent à des crottes de lapin ou quand elles sont dures et volumineuses,
-votre bébé s’énerve facilement, se tortille et pleure quand il fait caca, le ventre de votre bébé étant dur au toucher,
-ses selles contiennent du sang. Cela peut être dû à de petites déchirures de la peau appelées fissures anales qui surviennent quand les selles de votre enfant sont trop dures et trop grosses.
La constipation peut aussi être due à :
-de la fièvre
-une déshydratation
-un changement dans la consommation de liquides,
-un changement de régime alimentaire,
-la prise de certains médicaments.
Il arrive que des bébés plus âgés deviennent constipés pour éviter la douleur. Ça peut être le cas si une petite déchirure les fait souffrir au niveau de l’anus (fissure anale). Votre enfant se retient alors de faire caca pour éviter la douleur.
Selles vertes ?
Des selles vertes peuvent être le signe que votre bébé reçoit trop de lactose (le sucre naturel contenu dans le lait). Cela peut
arriver si vous nourrissez souvent votre enfant mais qu’il ne reçoit pas assez de lait de fin de tétée.
Des selles très pâles ?
Ce phénomène peut être le signe d’une jaunisse.
Traces de sang
Le fait de pousser fort peut provoquer de petites déchirures de la peau autour de l’anus (fissures anales) qui saignent quand votre bébé fait caca.
N’hésitez pas à consultez votre médecin ou votre pédiatre en cas d’inquiétude.
L'allergie alimentaire
C'est la pointe visible de l'iceberg.
Elle se manifeste par une réaction physique immédiate. Elle est détectable dans le sang par la présence d'anticorps (IgE, IgA) fabriqués contre des substances étrangères (antigènes).
L'intolérance alimentaire
C'est la partie immérgée de l'iceberg.
Elle peut amener à la transformation de protéines en fragments toxiques pour l'organisme dont l'une des causes principales provient d'une intoxication aux métaux lourds. Dans l'intolérance alimentaire, ce n'est pas l'aliment lui-même qui est à l'origine du phénomène, mais son accumulation qui va provoquer par une métabolisation défectueuse, une inflammation chronique à l'origine de diverses maladies pouvant toucher tous les systèmes. Elle est détectable par une analyse des peptides urinaires.
De nombreux chercheurs constatent que l’énorme augmentation des phénomènes allergiques à laquelle on assiste ces dernières années est attribuée à un phénomène d’intolérance alimentaire. Les phénomènes d’intolérance ou d’hypersensibilité alimentaires sont dus à une espèce de forme d’accumulation, comme s’il s’agissait d’un empoisonnement progressif. Les intolérances sont donc différentes des allergies alimentaires pour lesquelles la réponse pathogène se constate seulement quelques minutes après l’indigestion de l’aliment responsable.
Il est très important de connaître l’existence de ce phénomène parce que les effets d’une intolérance sur l’organisme sont des effets de type sub clinique, donc non visibles immédiatement, mais dans les jours suivant l’ingestion ils peuvent provoquer une augmentation de problèmes inflammatoires prouvant l’existence de maladies sournoises. D’ailleurs quasiment toutes les maladies inflammatoires, bronchiques répétées, pharyngites, angines, bronchites, otites, maladies hivernales et toutes celles qui s’en suivent peuvent être causées par l’existence d’une intolérance alimentaire. Mais que ce soit clair : ce n’est pas l’aliment qui est directement responsable mais la non métabolisation de l’aliment.
Exemple, dans le cas d’une pharyngite, c’est l’aliment (produit laitier…) qui permet de révéler une inflammation constante du pharynx, ce dernier qui avec une extrême facilité se trouve être victime de n’importe quelle attaque de bactérie ou virus. Dans d’autres formes inflammatoires telles que la céphalée et la migraine, il y a également souvent une hyper sensibilité au lait et à ses dérivés. Il en est de même pour l’arthrite rhumatoïde, l’eczéma et les dermatites chroniques ainsi que les formes de psoriasis et d’urticaire.
Il est extrêmement important de comprendre qu’en plus des aliments, les additifs contenus dans les consommables industriels et autres conserves alimentaires peuvent provoquer cette réaction immunologique de l’organisme.
L’allergie classique peut se détecter à l’aide de certains tests (RAST, Prick etc.).
ATTENTION : ces tests sont absolument inadaptés au diagnostique de l’intolérance.
Le test pratiqué pour la recherche des intolérances alimentaires est un test cytotoxique (Cyto-Aliments-Test). Cela nécessite un prélèvement du sang qui permet d’évaluer les possibles intolérances : il met en contact les leucocytes des patients avec un panel de substances alimentaires. Toutes les réactions sont visibles et lues au microscope.
Pour connaître vos intolérances alimentaires responsable de divers symptômes et pathologies de notre santé.
L'idée que l'allergie et l'intolérance alimentaire puissent causer des réactions cutanées et respiratoires est acceptée. Par contre, il est rarement considéré que ladite intolérance puisse provoquer des altérations sur n'importe lequel des organes de notre système physiopathologique. Il est encore moins reconnu qu'elle puisse être déclenchée par des blocages et des dérèglements enzymatiques dûs à des intoxications aux métaux lourds.
Qu'est-ce que l'intolérance alimentaire ?
L'intolérance alimentaire est une Hypersensibilité retarde de type 4 (allergie chronique,) silencieuse et pernicieuse, avec des réactions retardées ou semi-retardées, qui sont véhiculées par les cellules lymphocytaires de type T (Lymphocytes T).
Chez les patients positifs à une ou plusieurs substances et en tenant compte des degrés de réaction, on suggérera de les éliminer complètement de l'alimentation pendant une période à déterminer.
L'élimination a pour objectif de désintoxiquer l'organisme et en particulier, de permettre aux globules blancs, une perte de la mémoire des aliments toxiques pour l'individu.
Il est conseillé aux patients d'éliminer, en parallèle, les aliments appartenant à la même famille biologique qui contiennent des substances similaires, afin d'éviter les phénomènes de réactions croisées.
Les intolérances alimentaires peuvent être passagères ; en temps normal, après une période d'abstinence des aliments résultants positifs, ils peuvent être réintroduits progressivement dans la diète afin d'éviter à nouveau une accumulation de toxines dans l'organisme.
Effets des intolérances alimentaires
En plus des maladies typiquement allergiques telles que l’asthme, la gingivite, l’eczéma, l’urticaire la rhinite, les maladies telles que l’hallucination, le changement d’humeur, l’irritabilité, l’hyperactivité (problèmes scolaires), l’épilepsie et certaines formes de schizophrénie répondent parfaitement au changement alimentaire basé sur le Cyto-Aliments-Test.
Céphalée, (migraine, névralgie, vertige, crise convulsive)
Crise neurovégétative dérèglement psychique, épilepsie
Hypertension, angine cardiaque, tachycardie, spasme, et d’autres problèmes de spasme de membres inférieurs
Obésité, et dysfonctionnement du métabolisme.
Ulcère gastroduodénal colite ulcéreuse, maladie de Crohn, syndrome de colon irritable, dyspepsie constipation, diarrhée, aphte.
Insuffisance rénale, cystite chronique, énurésie, infections vaginales
Stérilité, absence de règles, métrorragie, hypo-hyper thyroïdisme
Arthrite, arthrose, sclérose en plaque, tunnel carpien
Fibromyalgie
Urticaire, dermatite, acné, psoriasis
Asthme
Hypo-hyperactivité
Autisme
Schizophrénie
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